Franceinfo: – Pap Ndiaye “satisfait” de la rentrée scolaire
« …Je ne partage pas du tout son diagnostic. On peut être satisfait si l’objectif était de mettre un adulte devant les élèves. Mais je
« …Je ne partage pas du tout son diagnostic. On peut être satisfait si l’objectif était de mettre un adulte devant les élèves. Mais je
Avec Maxime Reppert, secrétaire national du SNALC chargé des conditions de travail et du climat scolaire
« …Nous dénonçons au niveau de mon syndicat, un manque d’anticipation cruel qui fait qu’aujourd’hui, nous nous retrouvons à flux tendu. … » Maxime Reppert
« …Les titulaires ont été oubliés et notamment les titulaires qui sont en milieu et deuxième partie de carrière. Ce sont les oubliés de toutes
« …sommes-nous dans l’Éducation nationale avec l’objectif d’offrir un enseignement de qualité ou dans la Garderie nationale avec un objectif purement numérique … » Maxime
« On a l’impression que le président de la République compte sur une amnésie générale de la profession » Jean-Rémi Girard Président du SNALC À
« Nous traversons une grave crise du métier » Jean-Rémi Girard Président du SNALC Les contractuels recrutés cet été pour pallier aux 4 000 postes de professeurs
« […] si on arrivait à avoir un professeur devant chaque élève le jour de la rentrée, ça ne veut pas dire qu’ils vont tous
« Les trois disciplines qui sont structurellement compliquées sont les maths, l’allemand et les lettres classiques. Mais on voit que certaines disciplines qui n’étaient pas
« …Je ne sais pas si l’élève était scolarisée dans un lycée public ou privé, ou alors si elle était présente au centre d’examen en
« C’est bien gentil de dire “Vous allez être bien payés les trois premières années de votre carrière” : une carrière, c’est 42 ans !
« Pour un bac+5, concours de catégorie A, en moyenne dans la fonction publique, on est 900 à 1 000 euros de moins que la
« En France, il y a proportionnellement plus de vétérinaires pour les bêtes de l’armée, que de médecins pour les professeurs. C’est ahurissant. » Maxime
«[…] le pouvoir d’achat des enseignants ne cesse de diminuer et depuis longtemps, […] c’était déjà le cas avant et ce sera probablement encore le
«Quelle image de notre profession donne-t-on si n’importe qui ou presque peut devenir professeur après un entretien de 30 minutes ? Imaginez si je prétendais
« Le ministère a une vision ultra stéréotypée de l’entreprise et va appliquer tout ce qui l’arrange pour faire des économies » Jean-Rémi Girard Président
« Si vous avez un métier qui est rabaissé, négligé, où on ne reconnaît pas les enseignants comme des professionnels, il ne faut pas s’étonner
« Il faut signaler qu’un enseignant est un fonctionnaire de catégorie A, qui a Bac+5, quasiment ce que l’on peut faire de plus beau, et
« Le métier doit être valorisé et reconnu, au niveau du salaire et des conditions de travail » Maxime Reppert Secrétaire national aux conditions de
« On va vers une année noire en termes de recrutement. » Jean-Rémi Girard Président du SNALC La question se pose alors que le nombre
« Le premier acte attendu, c’est une revalorisation financière du métier […] sans contrepartie » Jean-Rémi Girard Président du SNALC Les concours enseignants n’ont pas
« On peut clairement parler d’une année noire, surtout qu’il ne manque pas forcément que 200 postes. Il en manquera peut être plus, puisque, comme
« Cette volonté de faire passer le bac à différents moments de l’année désorganise complètement le calendrier scolaire pour les élèves de terminale, mais aussi
On a supprimé 7900 postes dans le second degré entre 2017 et 2022
On a supprimé 7900 postes dans le second degré entre 2017 et 2022
« Si je devais résumer la politique éducative de ce quinquennat, je dirais qu’il y a surtout eu beaucoup de com’, mais peu d’écoute.» Jean-Rémi
« L’objectif de l’école est de pouvoirs former des esprits critiques… » Maxime Reppert Secrétaire national aux conditions de travail au SNALC Comment parler de
« Mais la violence scolaire peut arriver n’importe où, et peut arriver dans n’importe quel établissement.» Jean-Rémi Girard Président du SNALC La vidéo de l’enseignante
« un comité d’entreprise payant et aux prestations inconnues avant de payer, c’est inadmissible » Jean-Rémi Girard Président du SNALC L’association loi de 1901 Préau,
« dans le premier degré nous avons environ 75 % de grévistes et une école sur deux fermée. Dans le second degré, collèges et lycées,
« si le ministère a identifié des collègues s’opposant aux valeurs de la République, a priori c’est à lui de régler le problème et de
« Le métier d’enseignant est aujourd’hui un métier en crise, on a du mal à recruter de manière structurelle dans le second degré mais également,
« Il y a 30 ans, un enseignant avait un bien meilleur pouvoir d’achat qu’aujourd’hui ! » Jean-Rémi Girard Président du SNALC La question des
« ce qui va faire que l’élève ne se sent pas bien c’est qu’il est en échec, ce n’est pas spécifiquement la mauvaise note.» Jean-Rémi
« Je vois surtout des enseignants très chargés, très occupés, très consciencieux dans leur travail et qui sont même souvent à la limite de la
« Il faut bien comprendre que l’on a transformé chaque structure scolaire en mini-agence régionale de santé …» Jean-Rémi Girard Président du SNALC Alors que
«On va quand même accepter que des élèves qui sont cas contact à 9 h aillent manger ensemble à la cantine le midi. On en
« Si l’incompétence était un délit, je peux vous dire qu’actuellement il y aurait de quoi condamner notre ministre.» Maxime Reppert Secrétaire national aux conditions
« la déclaration que les professionnels ont été prévenus suffisamment à l’avance ou à temps, c’est une déclaration mensongère » Jean-Rémi Girard Président du SNALC
« …il n’y a pas forcément une sur-dépense, il y a peut-être des questions de répartition parfois, mais il n’y a pas spécialement de sur-dépenses,
Changer maintenant le protocole sanitaire à l’école primaire, c’est prendre le risque d’un emballement qui pourrait conduire, à terme, à une fermeture généralisée des écoles,
« Mais les situations sont rarement celles auxquelles on sera confronté, les élèves ayant une infinie capacité à nous surprendre» Jean-Rémi Girard Président du SNALC
« Même quand la situation est très bonne avec des moments d’accalmie, les personnels ne peuvent pas enlever le masque et doivent le garder pour
« Le #PasDeVague dont on a beaucoup parlé il y a trois ans n’a pas disparu d’un coup de baguette magique ; on en a
« Dans la vie de tous les jours nous sommes confrontés à ce type de violence, que ce soit physique ou psychologique. Ce que nous
« difficile d’imaginer les collectivités, notamment les plus petites ou les plus pauvres, se financer seules alors que la santé des élèves est en jeu
C’est important qu’on ait beaucoup de tests à l’école primaire car en fait le protocole à l’école primaire est le même que l’an dernier alors
Dans les études internationales, la France est en bas des classements et bat pourtant des records de réussite au bac. Il y a quelque chose
« Il y a toujours un intérêt économique dans l’Éducation nationale. On était passé à des sortes d’épreuves bâtardes, les E3C, qui permettaient de payer
« …Une très, très mauvaise idée” qui va “tuer définitivement le bac… » (Jean-Rémi Girard) Jean-Rémi Girard, président du SNALC dénonce la réforme du baccalauréat
« …il y a urgence à mettre en œuvre un plan de financement ambitieux… » (Tribune CGT Éduc’action, CNT-FTE, SNALC, SNUEP-FSU, SUD Éducation) Tribune co-signée