Vous n’avez jamais été autant à pouvoir dire que le SNALC est votre syndicat. Dans un contexte où les contre-pouvoirs ne sont pas à la fête, et où l’expression démocratique elle-même a connu des jours meilleurs, le SNALC va à contre-courant. Son efficacité est de plus en plus reconnue, y compris, à son corps défendant, par notre administration.

Pourquoi ? Parce que le SNALC porte une parole claire, n’a peur de personne, n’a de comptes à rendre qu’à ses adhérents, mais aussi parce qu’il possède une grande expertise technique et juridique. Il vous accompagne dans vos démarches, vous soutient dans vos conflits, renvoie avec régularité votre rectorat ou votre DSDEN dans ses 22 mètres, y compris par voie d’avocat s’il le faut.

Le dernier congrès national de Strasbourg l’a montré : le SNALC est uni, stable, fort, et n’a pas peur du débat d’idées. On y échange aussi bien sur les valeurs de la République, avec désormais une référente nationale sur le dossier, que sur l’entrée des élèves dans l’écriture, avec des colloques spécifiques pour vous proposer une formation que votre employeur ne vous offre pas. Il vous défend et vous représente sur tous les dossiers du moment : rémunération, pacte, collège, direction d’école, inclusion scolaire et maltraitance envers les AESH, voie professionnelle, baccalauréat… Contrairement à ce qui se passe dans nos lycées, la réformite n’a pas de souci à reconquérir le mois de juin, elle ! C’est d’ailleurs le message que le SNALC portera sous peu à notre ministre lors d’une audience, s’appuyant sur une enquête menée auprès de 4 000 professeurs de lycées et dont les résultats sont accablants pour le bac version Blanquer.

Afin d’être au plus près de vos attentes et de vous informer au mieux, la revue du SNALC évoluera dès cette rentrée, avec désormais deux numéros mensuels au lieu d’un : l’un centré sur le second degré et le supérieur, et le second sur les problématiques spécifiques de l’école primaire. Ainsi, quel que soit votre corps, quel que soit votre métier, vous vous retrouverez encore davantage dans notre syndicat, dans votre syndicat.