Ah, la fin de l’année scolaire ! Ce moment magique où les livrets scolaires s’empilent plus vite que les copies oubliées au fond du sac, où la kermesse prend des allures de marathon entre le chamboule-tout et les stands de gâteaux de la tante de Julia qui veut absolument prendre en photo tout le monde. Mention spéciale aux parents de Liam qui râlent parce qu’ils n’ont reçu aucun mail sur les 18 envoyés pour savoir où et à quelle heure ils devaient emmener leur fils pour le spectacle, et aux parents de Lise qui demandent tous les jours quand est-ce qu’on va leur envoyer le bulletin de leur fille. 

Les réunions s’étirent à n’en plus finir, comme si l’absence de clim n’était pas suffisante pour finir de nous assommer. Entre deux signatures sur les bulletins et trois coups de tampon sur les dossiers, on se surprend à rêver d’un transat, d’un cocktail (sans élèves) et d’un monde où la réunion de fin d’année serait remplacée par une sieste. Mais non, il faut tenir bon : la cloche des grandes vacances finira bien par sonner.

Alors, pour la nouvelle rentrée, au lieu de se promettre de corriger ses copies en avance, ou de ne plus jamais oublier la date du conseil de classe, prenons LA vraie bonne résolution : adhérer au SNALC ! 

1- Parce qu’on ne va pas laisser la rentrée nous faire la leçon

Chaque année, on nous parle de bienveillance, de pédagogie, de LA nouvelle réforme exceptionnelle et inédite qui va tout changer – sauf le goût du café et la quantité d’huile dans les pâtes à la cantine. Mais pas du syndicat qui va permettre d’être au courant des dernières circulaires et des procédures à ne pas rater.

2- Parce que l’union fait la force

Dans la jungle de l’administration et de l’Éducation nationale, il vaut mieux être un bataillon qu’un ermite. Au SNALC, on ne se contente pas de râler, on informe et on agit, on propose, on défend.

3- Parce que la pédagogie, c’est aussi savoir défendre ses droits

Adhérer, c’est refuser d’être le dindon de la farce institutionnelle. C’est s’outiller d’arguments, de lois, pour défendre ses droits et ceux des collègues.

4- Parce que le SNALC, c’est la garantie d’un syndicat sans langue de bois

Le SNALC est le seul syndicat apolitique, indépendant, non subventionné par l’État, donc libre de s’exprimer, quel que soit l’interlocuteur. Nous défendons la liberté pédagogique et la transmission des savoirs, nous revendiquons la revalorisation des salaires. Notre priorité est d’être sur le terrain, d’aider, d’accompagner, et de représenter et défendre nos collègues et leurs intérêts à tous les étages du Ministère.

Bon été à tous, et n’oubliez pas d’adhérer !