Le SNALC est régulièrement interpelé par des collègues en grande détresse. Le premier degré est particulièrement concerné. Le dernier appel à l’aide, nous a encore montré à quel point notre institution, tel un rouleau compresseur, peut détruire des professeurs alors qu’elle devrait au contraire les aider.
Certains collègues pourtant sérieux et passionnés par leur métier depuis des années, se retrouvent pris au piège dans une spirale infernale souvent à cause de faits en rien répréhensibles. Ils en viennent parfois à mettre un terme à cette carrière qui faisait leur fierté et cela au prix d’une blessure profonde et ineffaçable. Le SNALC ne baissera jamais les bras devant ces injustices.
Certains collègues pourtant sérieux et passionnés par leur métier depuis des années, se retrouvent pris au piège dans une spirale infernale souvent à cause de faits en rien répréhensibles. Ils en viennent parfois à mettre un terme à cette carrière qui faisait leur fierté et cela au prix d’une blessure profonde et ineffaçable. Le SNALC ne baissera jamais les bras devant ces injustices.
Trop souvent les collègues nous appellent beaucoup trop tard, lorsque les choses sont déjà allées trop loin. Pour éviter une souffrance injuste, il est important que nous intervenions dès le début afin de désamorcer les situations et éviter qu’elles ne deviennent un enfer pour les collègues.
N’attendez donc pas de vous retrouver dans une situation irréversible. Le SNALC est le seul syndicat dans le premier degré à proposer avec son adhésion unique de 90 euros pour tous les PE, une assistance juridique avec son partenaire la GMF.