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Payer pour venir travailler à l’UPEC, un nouveau concept !

© evening_tao_freepik.com

Vous ne l’aviez pas rêvé mais l’UPEC l’a fait. Suite à la raréfaction des places de parking sur le campus centre, des personnels et des étudiants sont parfois contraints de payer une place de parking pour venir travailler à l’UPEC.


Au surplus, lorsque la mairie de Créteil réquisitionne le parking du Palais de sports, il faut parfois se garer dans le parking payant du centre commercial de Créteil soleil.


Pourquoi l’UPEC n’a-t-elle pas fait réaliser les travaux du parking couvert par tranches afin de limiter la raréfaction ? Pourquoi le parking de l’IUT n’est pas ouvert ? Pourquoi le principe d’égalité n’est pas respecté face à la pénurie car il y a encore des places réservées ? Pourquoi ne pas avoir négocié pour permettre aux membres de l’UPEC d’accéder au parking privé proche du Palais de justice et souvent peu occupé ?


Au nom de la défense de l’environnement, la direction de l’UPEC a une politique anti-voiture. Ce dogmatisme n’est pas conforme à la logique du développement durable qui est fondée sur l’idée d’une conciliation et non pas d’une opposition.
Il y a notamment dans le concept de développement durable l’idée de concilier le social et l’environnement. A ce titre, il faudra que la direction de l’UPEC nous explique comment elle intègre la prise en considération du prix du logement en région parisienne dans sa stratégie.


Vivre dans des zones mal desservies par les transports collectifs est un moyen de payer moins cher son logement. Certaines personnes qui ont les moyens de vivre dans Paris où à proximité semblent l’avoir oublié.


Par ailleurs, l’UPEC a des étudiants et des personnels qui vivent en Seine et Marne. Est-il légitime de leur demander d’avoir plus de 3 heures de transports collectifs par jour ?


L’enjeu est d’aller vers une voiture « propre » et non pas de condamner le droit à la mobilité ou de créer de grandes agglomérations surpeuplées entourées d’un « désert » français. L’Homme moderne ne doit pas être esclave de sa modernité dixit Paul Valéry. Une politique développement durable orpheline d’un souci d’aménagement du territoire mène à une impasse.


Le dogmatisme anti-voiture conduira à une réaction contraire qui sacrifiera l’environnement. Certaines personnes ont un talent pour discréditer des causes légitimes.


Souhaitons que la direction de l’UPEC retrouve la balance de Thémis car le droit et une bonne gouvernance sont par essence l’équilibre des intérêts en présence.