L’ACTION SYNDICALE : L’AUDACE PAR L’INDÉPENDANCE
La liberté d’expression si large soit-elle n’autorise pas à violer la liberté individuelle des personnes en exerçant sur elles des pressions portant atteinte à leur libre arbitre. Et dans nos métiers, des pressions, nous en rencontrons à tous les niveaux. Ils sont nombreux ceux qui ne conçoivent de liberté que celle qui leur permet d’exprimer leur seule voix, de museler celles qui ne seraient pas conformes à la leur. Flagrant délit de totalitarisme de l’expression. Les pages suivantes illustreront cette idée.
L’ACTION SYNDICALE : L’AUDACE PAR L’INDÉPENDANCE
Il arrive que les agents n’osent plus faire entendre leur voix, ni parfois même revendiquer leurs droits : peur d’aggraver une situation déjà pénible, peur des rétorsions, du qu’en-dira-t-on… Dans un contexte de climat de travail dégradé, le SNALC redouble de détermination et d’audace. Car sa voix, qui porte la vôtre, est celle d’une organisation représentative et expérimentée ; protégé par la loi, un représentant syndical est naturellement plus libre et moins vulnérable qu’un individu isolé s’exprimant en son nom propre. Le SNALC a cette particularité qui souvent irrite : il n’est soumis à aucune hiérarchie, aucun parti, aucun réseau de pression ; il ne craint aucune menace et n’a jamais été aux ordres d’un ministre ou d’un gouvernement – nombreux sont ceux qui l’ont appris à leurs dépens. C’est de cette réelle indépendance que le SNALC puise sa force et son audace pour servir sa mission première : la défense de vos intérêts.¦