Article publié dans la Quinzaine universitaire n°1426
Alors que JM. Blanquer annonçait avec satisfaction, le 21 janvier dans une vidéo youtube (1), la sortie des programmes du Lycée général et Technologique, le secteur EPS du SNALC dénonce concernant leur fabrication de nombreux dénis de démocratie ainsi qu’un mépris des personnels et de leurs représentants. Au-delà du fond, que nous détailleront par ailleurs, c’est avant tout la méthode et ses conséquences que nous analysons ici.
Le Conseil Supérieur des Programmes
En premier lieu, JM. Blanquer vante la qualité représentative des groupes de travail du CSP affirmant qu’ils « ont réunis des universitaires, des professeurs de terrain, des inspecteurs.. ». En fait ces entités normalement indépendantes, ont été constituées dans un entre-soi élitiste, non représentatif et orienté (2). Une simple recherche internet suffit à l’éclairer. Qui a présidé au choix, non neutre, de ces pilotes et autres contributeurs ? Pourquoi à ce stade d’élaboration les représentants des « professeurs de terrain » sont-ils écartés ? Pourquoi ces choix très éloignés de la philosophie défendue par la présidente du CSP ?
C’est dans ce contexte très fermé, de travail et d’audiences aux influences évidentes (AE-EPS…), qu’un premier projet de programme (3) a été réalisé entre le printemps et l’automne 2018. Il nous a été présenté en audience, le 8 octobre dernier.
Nous avons découvert une première mouture complexe, organisée autour de la notion d’Expérience Corporelle Typique, chère à l’école Clermontoise et à la théorie de l’action située. Nous avons dénoncé une opération de toilettage des programmes actuels reconduits derrière un nouveau vocable connoté. Nous avons déposé dès le 11 octobre plusieurs amendements (4) visant à préciser nos conceptions et à corriger ce premier tir .
La Direction Générale de l’Enseignement Scolaire
Un mois plus tard, le 13 novembre nous avons été réunis par la DGESCO, dans un groupe de travail disciplinaire, présidé par JM Huart. Etaient présents les responsables nationaux des syndicats représentatifs en charge de l’EPS du SGEN, de l’UNSA, du SNEP et du SNALC. Deux inspectrices générales, C. Sève et MC . Sereau complétaient ce groupe, remplaçant G. Lecuivre, malheureusement décédé entre-temps (et dont nous saluons ici la mémoire).
Les syndicats espéraient constater l’effet de leurs premiers amendements et étudier un projet modifié. Mais le projet initial du CSP était resté quasi inchangé. Cette audience fut donc un bis repetita et l’occasion de débats, parfois vifs entre les organisations syndicales et l’inspection générale, où chacun n’a fait que repréciser ses attentes. Suite à cette réunion nous avons renvoyé le 17 novembre à la DGESCO une seconde série d’amendements (5).
Parallèlement la DGESCO avait ouvert à la profession, depuis le 5 novembre, une consultation nationale sur ces futurs programmes, via un portail internet. Le SNALC a profité de cette audience pour demander que soient publiés ces résultats afin que chacun puisse apprécier d’une part les attentes des « professeurs de terrain » et d’autre part la façon dont elles seraient prises en compte dans l’amélioration du projet. Ce à quoi le directeur de la DGESCO s’est formellement engagé.
A ce jour, rien de ces remontées n’a été rendu public. Aussi nous sommes très étonnés d’entendre JM. Blanquer affirmer avoir « regardé ces remarques très constructives qui ont été travaillées et ont permis d’améliorer encore ces programmes». En l’absence de publication, nous doutons fortement du traitement de ces résultats et de l’utilité effective de cette consultation. Il s’agit d’un nouveau déni de démocratie et d’un double mépris concernant les enseignants et leurs représentants.
La Commission Spéciale Lycée
Trois semaines plus tard, le 8 décembre, une seconde version du projet (6) nous est enfin parvenue.
Notre surprise fut grande. Le projet initial du CSP avait été réduit de moitié et en grande partie réécrit. De mémoire de législateur on avait rarement lu de tels bouleversements entre deux textes. Mais qui en furent les rédacteurs ?
Nous avons posé cette question, le 13 décembre, lors de notre troisième audience pour l’examen des futurs programmes par la Commission Spéciale Lycée. La forte professionnalisation indispensable pour rédiger un tel programme, l’inintelligibilité de ces textes pour les personnels les plus qualifiés de l’administration, nous laisse penser, en l’absence de réponse, que seule l’Inspection Générale était en mesure d’effectuer ces transformations, reprenant ainsi en coulisse la main sur cette écriture.
Est-ce bien légitime ? L’indépendance rédactionnelle initiale du CSP est-elle respectée ?
Là encore la fabrique n’est pas claire et le dialogue social fermé.
L’examen de cette seconde version démontrera un semblant d’écoute évident. Certains amendements ont bien été considérés mais de façon très superficielle. Le SNEP par exemple, opposé à l’intégration du Yoga et de la danse de couple dans la liste nationale des APSA sera entendu. Ces activités disparaîtront dans cette mouture. Le SNALC qui soulignait le manque de cohérence dans le continuum collège-lycée entre les notions de Champ d’Apprentissage et d’Expérience Corporelle sera aussi écouté. La première notion remplacera définitivement la seconde.
Mais les rectifications concédées restent faibles et à la marge. Elles sont avant tout diplomatiques et la preuve d’une écoute, même minime, qui rend irréprochable le processus démocratique de fabrique. Tout cela n’est que façade. Malgré une restructuration importante et superficielle, le fond demeure intact.
Ainsi, la classification des APSA, simplement renommée, et les contraintes programmatiques associées, majoritairement contestées par la profession et les organisations depuis dix ans, restent inchangées. De même les Attendus de Fin de Lycée n° 2, que le SNALC réprouvait en raison de leur nature ultra-méthodologique et de leur mise en concurrence avec les AFL1 de nature motrice, ont habilement été reconduits sous une forme différente. Ils sont devenus un nouvel objectif général pour la discipline : « Le savoir se préparer et s’entrainer ». La concurrence parallèle avec les visées physiques et motrices est moins flagrante. Il n’en demeure pas moins que cet objectif, beaucoup plus adapté à une EPS optionnelle ou préparatoire aux STAPS, reste commun et transversal à toutes les activités et s’adresse à tous les catégories de Lycéens.
Face aux nombreuses problématiques reconduites et restant intraitées, nous avons fait connaître nos désaccords à la CSL et nous avons à nouveau déposé le 15 décembre une dernière série d’amendements (7) en direction du Conseil Supérieur de l’Education , ultime étape de consultation.
Le Conseil Supérieur de l’Education
Le 18 décembre les organisations ont défendu leurs amendements devant le CSE espérant une dernière fois pouvoir modifier la seconde version remaniée par l’Inspection Générale. Tous les amendements ont été étudiés et votés. 80 % des améliorations proposées ont été approuvées par le CSE. Certaines propositions ont même été plébiscitées, comme les amendements n° 2 et 4 du SNALC qui ont obtenu sur les 50 votes une très forte majorité et le soutien des autres organisations syndicales, SNEP compris (8).
A titre d’exemple voici l’amendement n°4 du SNALC, visant a assouplir la contrainte programmatique des APSA et à permettre aux élèves d’opérer des choix d’activités plus motivants, personnalisés et spécialisés.
Organisation de l’EPS (page 4)
Sur les trois années du lycée
• Proposition des programmes:Les cinq champs d’apprentissage constituent un passage obligé de manière à contribuer à la formation et à la culture communes des lycéens.
• Amendement du SNALC : L’offre de formation proposée aux lycéens doit couvrir les 5 champs d’apprentissage. Le parcours de formation de chaque lycéen doit s’appuyer sur au moins trois des cinq champs offerts de manière à contribuer à une formation et à une culture communes tout en permettant des choix et un approfondissement favorables au prolongement de la pratique dans l’enseignement supérieur ou la vie future.
Tous ces amendements jugés favorablement par le CSE, laissés ensuite à l’arbitrage du Ministre étaient l’occasion de donner du crédit aux programmes. En effet il est important de noter qu’en dehors de ces amendements l’arrêté de programme a été unanimement rejeté par le CSE, recueillant 38 oppositions, 11 abstentions, 1 refus de vote et donc aucune voix en sa faveur.
Pour autant aucun des amendements proposés et validés par le CSE, n’a été retenu. Malgré des heures de réflexion, de rédaction, de concertation, les jeux étaient faits. Mise à part le retour du yoga à la demande du SGEN (9), de l’UNSA (10) et du SNALC (7), la version définitive des programmes publiée au BO du 22 Janvier (11) est en tous points identique à celle recomposée par l’Inspection le 8 décembre. Pire, de nouvelles injonctions se sont rajoutées en dehors de toute concertation, comme celle stipulant que l’EPS « contribue au développement des compétences orales à travers notamment la pratique de l’argumentation. Celle-ci conduit à préciser sa pensée et à expliciter son raisonnement de manière à convaincre (p3)». Cela n’a rien d’anodin !
Faisant fi des résultats de la consultation professionnelle, considérant de façon très marginale et superficielle les propositions des représentants des « professeurs de terrain », cette fabrique peut être qualifiée de dogmatique. Elle repose sur des procédés obscurs et impose une conception unilatérale, bien particulière et groupusculaire de l’EPS, dont la légimité est très discutable. Déguisé en dialogue social, le dialogue de sourds organisé conserve, malgré sa vacuité, un très grand intérêt. Celui de maintenir la croyance de l’exercice démocratique et de légitimer des décisions finalement arrếtées d’autorité.
Dès lors on ne peut plus feindre de s’étonner de l’émergence de mouvements radicalisés quand la démocratie « canada-dry », révélée par ce petit exemple, devient à ce point la stratégie dominante de gouvernance.
Le Conseil Supérieur des Programmes
En premier lieu, JM. Blanquer vante la qualité représentative des groupes de travail du CSP affirmant qu’ils « ont réunis des universitaires, des professeurs de terrain, des inspecteurs.. ». En fait ces entités normalement indépendantes, ont été constituées dans un entre-soi élitiste, non représentatif et orienté (2). Une simple recherche internet suffit à l’éclairer. Qui a présidé au choix, non neutre, de ces pilotes et autres contributeurs ? Pourquoi à ce stade d’élaboration les représentants des « professeurs de terrain » sont-ils écartés ? Pourquoi ces choix très éloignés de la philosophie défendue par la présidente du CSP ?
C’est dans ce contexte très fermé, de travail et d’audiences aux influences évidentes (AE-EPS…), qu’un premier projet de programme (3) a été réalisé entre le printemps et l’automne 2018. Il nous a été présenté en audience, le 8 octobre dernier.
Nous avons découvert une première mouture complexe, organisée autour de la notion d’Expérience Corporelle Typique, chère à l’école Clermontoise et à la théorie de l’action située. Nous avons dénoncé une opération de toilettage des programmes actuels reconduits derrière un nouveau vocable connoté. Nous avons déposé dès le 11 octobre plusieurs amendements (4) visant à préciser nos conceptions et à corriger ce premier tir .
La Direction Générale de l’Enseignement Scolaire
Un mois plus tard, le 13 novembre nous avons été réunis par la DGESCO, dans un groupe de travail disciplinaire, présidé par JM Huart. Etaient présents les responsables nationaux des syndicats représentatifs en charge de l’EPS du SGEN, de l’UNSA, du SNEP et du SNALC. Deux inspectrices générales, C. Sève et MC . Sereau complétaient ce groupe, remplaçant G. Lecuivre, malheureusement décédé entre-temps (et dont nous saluons ici la mémoire).
Les syndicats espéraient constater l’effet de leurs premiers amendements et étudier un projet modifié. Mais le projet initial du CSP était resté quasi inchangé. Cette audience fut donc un bis repetita et l’occasion de débats, parfois vifs entre les organisations syndicales et l’inspection générale, où chacun n’a fait que repréciser ses attentes. Suite à cette réunion nous avons renvoyé le 17 novembre à la DGESCO une seconde série d’amendements (5).
Parallèlement la DGESCO avait ouvert à la profession, depuis le 5 novembre, une consultation nationale sur ces futurs programmes, via un portail internet. Le SNALC a profité de cette audience pour demander que soient publiés ces résultats afin que chacun puisse apprécier d’une part les attentes des « professeurs de terrain » et d’autre part la façon dont elles seraient prises en compte dans l’amélioration du projet. Ce à quoi le directeur de la DGESCO s’est formellement engagé.
A ce jour, rien de ces remontées n’a été rendu public. Aussi nous sommes très étonnés d’entendre JM. Blanquer affirmer avoir « regardé ces remarques très constructives qui ont été travaillées et ont permis d’améliorer encore ces programmes». En l’absence de publication, nous doutons fortement du traitement de ces résultats et de l’utilité effective de cette consultation. Il s’agit d’un nouveau déni de démocratie et d’un double mépris concernant les enseignants et leurs représentants.
La Commission Spéciale Lycée
Trois semaines plus tard, le 8 décembre, une seconde version du projet (6) nous est enfin parvenue.
Notre surprise fut grande. Le projet initial du CSP avait été réduit de moitié et en grande partie réécrit. De mémoire de législateur on avait rarement lu de tels bouleversements entre deux textes. Mais qui en furent les rédacteurs ?
Nous avons posé cette question, le 13 décembre, lors de notre troisième audience pour l’examen des futurs programmes par la Commission Spéciale Lycée. La forte professionnalisation indispensable pour rédiger un tel programme, l’inintelligibilité de ces textes pour les personnels les plus qualifiés de l’administration, nous laisse penser, en l’absence de réponse, que seule l’Inspection Générale était en mesure d’effectuer ces transformations, reprenant ainsi en coulisse la main sur cette écriture.
Est-ce bien légitime ? L’indépendance rédactionnelle initiale du CSP est-elle respectée ?
Là encore la fabrique n’est pas claire et le dialogue social fermé.
L’examen de cette seconde version démontrera un semblant d’écoute évident. Certains amendements ont bien été considérés mais de façon très superficielle. Le SNEP par exemple, opposé à l’intégration du Yoga et de la danse de couple dans la liste nationale des APSA sera entendu. Ces activités disparaîtront dans cette mouture. Le SNALC qui soulignait le manque de cohérence dans le continuum collège-lycée entre les notions de Champ d’Apprentissage et d’Expérience Corporelle sera aussi écouté. La première notion remplacera définitivement la seconde.
Mais les rectifications concédées restent faibles et à la marge. Elles sont avant tout diplomatiques et la preuve d’une écoute, même minime, qui rend irréprochable le processus démocratique de fabrique. Tout cela n’est que façade. Malgré une restructuration importante et superficielle, le fond demeure intact.
Ainsi, la classification des APSA, simplement renommée, et les contraintes programmatiques associées, majoritairement contestées par la profession et les organisations depuis dix ans, restent inchangées. De même les Attendus de Fin de Lycée n° 2, que le SNALC réprouvait en raison de leur nature ultra-méthodologique et de leur mise en concurrence avec les AFL1 de nature motrice, ont habilement été reconduits sous une forme différente. Ils sont devenus un nouvel objectif général pour la discipline : « Le savoir se préparer et s’entrainer ». La concurrence parallèle avec les visées physiques et motrices est moins flagrante. Il n’en demeure pas moins que cet objectif, beaucoup plus adapté à une EPS optionnelle ou préparatoire aux STAPS, reste commun et transversal à toutes les activités et s’adresse à tous les catégories de Lycéens.
Face aux nombreuses problématiques reconduites et restant intraitées, nous avons fait connaître nos désaccords à la CSL et nous avons à nouveau déposé le 15 décembre une dernière série d’amendements (7) en direction du Conseil Supérieur de l’Education , ultime étape de consultation.
Le Conseil Supérieur de l’Education
Le 18 décembre les organisations ont défendu leurs amendements devant le CSE espérant une dernière fois pouvoir modifier la seconde version remaniée par l’Inspection Générale. Tous les amendements ont été étudiés et votés. 80 % des améliorations proposées ont été approuvées par le CSE. Certaines propositions ont même été plébiscitées, comme les amendements n° 2 et 4 du SNALC qui ont obtenu sur les 50 votes une très forte majorité et le soutien des autres organisations syndicales, SNEP compris (8).
A titre d’exemple voici l’amendement n°4 du SNALC, visant a assouplir la contrainte programmatique des APSA et à permettre aux élèves d’opérer des choix d’activités plus motivants, personnalisés et spécialisés.
Organisation de l’EPS (page 4)
Sur les trois années du lycée
• Proposition des programmes:
• Amendement du SNALC : L’offre de formation proposée aux lycéens doit couvrir les 5 champs d’apprentissage. Le parcours de formation de chaque lycéen doit s’appuyer sur au moins trois des cinq champs offerts de manière à contribuer à une formation et à une culture communes tout en permettant des choix et un approfondissement favorables au prolongement de la pratique dans l’enseignement supérieur ou la vie future.
Tous ces amendements jugés favorablement par le CSE, laissés ensuite à l’arbitrage du Ministre étaient l’occasion de donner du crédit aux programmes. En effet il est important de noter qu’en dehors de ces amendements l’arrêté de programme a été unanimement rejeté par le CSE, recueillant 38 oppositions, 11 abstentions, 1 refus de vote et donc aucune voix en sa faveur.
Pour autant aucun des amendements proposés et validés par le CSE, n’a été retenu. Malgré des heures de réflexion, de rédaction, de concertation, les jeux étaient faits. Mise à part le retour du yoga à la demande du SGEN (9), de l’UNSA (10) et du SNALC (7), la version définitive des programmes publiée au BO du 22 Janvier (11) est en tous points identique à celle recomposée par l’Inspection le 8 décembre. Pire, de nouvelles injonctions se sont rajoutées en dehors de toute concertation, comme celle stipulant que l’EPS « contribue au développement des compétences orales à travers notamment la pratique de l’argumentation. Celle-ci conduit à préciser sa pensée et à expliciter son raisonnement de manière à convaincre (p3)». Cela n’a rien d’anodin !
Faisant fi des résultats de la consultation professionnelle, considérant de façon très marginale et superficielle les propositions des représentants des « professeurs de terrain », cette fabrique peut être qualifiée de dogmatique. Elle repose sur des procédés obscurs et impose une conception unilatérale, bien particulière et groupusculaire de l’EPS, dont la légimité est très discutable. Déguisé en dialogue social, le dialogue de sourds organisé conserve, malgré sa vacuité, un très grand intérêt. Celui de maintenir la croyance de l’exercice démocratique et de légitimer des décisions finalement arrếtées d’autorité.
Dès lors on ne peut plus feindre de s’étonner de l’émergence de mouvements radicalisés quand la démocratie « canada-dry », révélée par ce petit exemple, devient à ce point la stratégie dominante de gouvernance.
NOTES et LIENS
1. JM. Blanquer : Bac 2021 Publication des nouveaux programmes, Youtube.com, Janvier 2019 :
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-1-Bac 2021-Presentation.mp4
2. CSP : Composition des groupes chargés d’élaborer les projets de programmes (GEPP), Juin 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-2-Composition-GEPP.pdf
3. CSP : EPS, Classes de 2nde, 1er et terminale, Enseignement commun, Octobre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-3-CSP-V1.pdf
4. SNALC : Amendements au programmes EPS du Lycée, Consultation CSP, Octobre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-4-AmendementsSNALC-CSP.pdf
5. SNALC : Amendements au programme EPS du Lycée, Consultation DGESCO, Novembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-5-AmendementsSNALC-DGESCO.pdf
6. MEN : Projet d’arrêté de programme d’EPS, Décembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-6-MEN-ProjetV2.pdf
7. SNALC : Amendements au programmes EPS du Lycée, Consultation CSE, Décembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-7-AmendementsSNALC-CSE.pdf
8. SNEP : Amendements EPS, consultation CSE, Décembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-8-AmendementsSNEP-CSE.pdf
9. SGEN : Amendements EPS, consultation CSE, Décembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-9-AmendementsSGEN-CSE.pdf
10. UNSA: Amendements EPS, consultation CSE, Décembre 2018:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-10-AmendementsUNSA-CSE.pdf
11. Programme EPS du LGT, BO spécial du 22 Janvier 2019, Annexe 1:
http://snalc.fr/uploads/documents/national/QU1426-EPS-11-ProgrammesEPS.pdf