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BFMTV – Santé dans l’Éducation nationale : une crise ignorée par les autorités !

«Il y a plus de vétérinaires pour les animaux de l’armée que de médecins de prévention pour les personnels de l’Éducation nationale.»
Maxime REPPERT
Vice-président du SNALC
Face à une situation qu’il qualifie de « catastrophique », le SNALC dénonce l’inaction prolongée des autorités concernant la santé scolaire et celle des personnels de l’Éducation nationale.
 

Maxime Reppert, vice-président du SNALC, est l’invité de BFMTV le 14 mai 2025.

SNALC – Maxime REPPERT

Ça fait des années. En ma qualité de vice-président et auparavant de secrétaire national aux conditions de travail, cela fait des années que le SNALC, donc mon syndicat, alerte à tous les niveaux sur la situation catastrophique de la santé dans l’Éducation nationale, que ce soit pour la santé scolaire ou celle des personnels : c’est une catastrophe.

J’ai alerté tous les ministres depuis Jean-Michel Blanquer, en rappelant qu’il y avait plus de vétérinaires pour les animaux de l’armée que de médecins de prévention pour les personnels de l’Éducation nationale. Et malgré ce constat, l’administration se réfugie toujours derrière les mêmes excuses en disant : “on a du mal à recruter”. Et on nous ressort exactement le même discours aujourd’hui concernant la santé scolaire.

Eh bien, ma réponse à la ministre, au gouvernement, et à l’administration est très simple : posez-vous les bonnes questions. Pensez-vous vraiment qu’avec une politique à moyens constants, on va résoudre ce problème ? La réponse est non.

Quant aux difficultés de recrutement, là encore, posons-nous les bonnes questions. Pourquoi a-t-on du mal à recruter des personnels de santé dans l’Éducation nationale ? La réponse est très simple : parce que les conditions de travail sont extrêmement dégradées, parce que la rémunération n’est pas à la hauteur, et parce que le métier n’est tout simplement pas attractif.

Donc arrêtons avec ce maquillage, arrêtons avec ce coup médiatique. J’ai des collègues qui sont morts, des élèves qui ont été tués, et une violence qui est grandissante dans l’Éducation nationale. À un moment donné, stop ! Soyons responsables, que la société soit responsable, et surtout que le ministère se saisisse de ce problème avec les moyens nécessaires.

Nous ne participerons pas à cette mascarade, car cela reviendrait à perdre du temps et à participer à un simple coup de communication. Nous ne voulons pas de communication, nous voulons des actes.

«Nous ne voulons pas de communication, nous voulons des actes. »
Maxime REPPERT
Vice-président du SNALC